jeudi 29 janvier 2009

Requiem pour un poulet

J'ai fait un poulet hier soir. Je n'aime pas tellement cela car c'est un plat tellement ennuyant, souvent mal apprêté, sec, sans compter le dégoût que me cause l'élevage industriel des poulets, entassés dans des cages, le bec et les ailes coupées...

Reste que Gnobulix aime bien et que c'est le genre de truc pratique à avoir au frigo. Et en sandwich, c'est plutôt bon... Il paraît que le mien n'est pas mal, surtout fait à la mijoteuse. Je préfère toutefois la dinde ou le canard. Humm, du canard!

Bon, assez délibéré sur le fait d'aimer ou ne pas aimer le poulet: je suis convaincu qu'à peu près tout le monde en mange sur une base régulière. Et c'était plutôt bon finalement. Et je me rend compte encore une fois que je peux dire n'importe quoi et son contraire dans un paragraphe...

Donc, je n'ai pas de photo du poulet, mais j'en ai pris une du lunch que Gnobulix a eu aujourd'hui. Il n'en a pas mangé hier car il avait autre chose et comme nous avons des trucs prévus jusqu'à dimanche, il fallait cuire le poulet de toute façon.
Côté couleurs, c'est pas super, j'avoue, mais dans une sauce au vin blanc, c'est toujours gagnant!

Et comme je n'aime pas le gaspillage, j'en ai profité pour faire un bouillon de poulet maison avec la carcasse que j'ai fait bouillir un gros deux heures (en écumant à l'occasion). En plus, c'est tellement meilleur! J'y suis allée à la va-vite, c'est-à-dire pas d'oignon, pas de carotte, pas de branche de céleri, juste la carcasse.

Je ne vous montre pas le résultat final mais la deuxième photo (à droite) montre le résultat une fois les os retirés. Après, j'ai filtré le liquide deux fois pour enlever le gras et avoir un bouillon clair. Je vais m'en servir dans les prochains jours pour faire une soupe.

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